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Report on the 2nd Consultative Dialogue between Civil Society Organizations and the Pan African Parliament

May, 2009

Introduction

The 2nd dialogue between civil society organizations and the Pan African Parliament (PAP) brought together civil society leaders from across Africa to engage with members of PAP on issues related to state and citizens’ relations. Under the theme, "African Integration, Transformation & Citizen Engagement," the focus of the meeting was African citizens' role in political and economic transformation on the continent.

Despite great strides in advancement, Africa is facing problems – especially around the fair distribution of natural resources – that need to be dealt with swiftly.

By BHEKINKOSI MOYO

Africa exudes a certain optimism about its future these days. ‘Africa is rising’ is today’s cliche, coined by the same Economist magazine that once declared Africa ‘dark’. But this goes beyond that magazine’s take on matters – you have to be here to experience the excitement. Leading economists on the continent and beyond are throwing around all sorts of positive projections – some as far as 2060. A number of factors, they say, will lead to Africa becoming a lot wealthier by 2050.

Facoumba Gueye a rejoint TrustAfrica en février 2011 comme Assistante de programmes pour le Fonds de recherche sur le Climat d'investissement et l'environnement des affaires (CIEA). Elle a précédemment servi comme assistante de recherche pour le Groupe Emergence Consulting, un cabinet sénégalais, où elle s'est spécialisée dans l'élaboration des stratégies de développement. Vivement intéressée par le développement et la solidarité internationale, elle a également servi comme volontaire dans l'élaboration des projets pour la Digital Freedom Initiative, un projet financé par l'USAID au Sénégal, et en tant qu'assistante de projet pour eRider Sénégal, un programme d'appui aux TIC financé par l'Open Society Initiative for West Africa (OSIWA). Elle est titulaire d'un Master en Pratique du Développement (MDP) obtenu à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Sénégal) et d'autres diplômes dans les domaines du développement des affaires et l'économie de la connaissance et de l'innovation. Elle parle français et est en train de travailler pour améliorer son anglais.

Voice of Nigeria

Academic intellectuals from across West Africa have raised concerns about the decay of education system in Africa.

L'Association nigérienne pour le Progrès et la Défense des droits de la femme (ANPDDF) est une ONG basée au Niger œuvrant pour la promotion des droits des femmes à travers le pays. Entre 2010 et 2011, TrustAfrica, à travers son projet « Renforcement de la dignité de la femme » a accordé des subventions à l'ANPDDF pour l'aider à financer des formations visant à améliorer la participation des femmes aux élections, accroître leur capacité de leadership et les doter des documents juridiques leur permettant de voter lors des élections de 2015. Cliquez ici pour en savoir plus sur les activités de cette ONG.

Nom du bénéficiaire Montant de la subvention Pays Subvention octroyée le Description
GADY GIE and Defar Yaraax 25,000 $ Sénégal 01/05/2012 - 3 ans Première subvention octroyée dans le cadre notre Programme de soutien au développement des quartiers, à un groupement féminin opérant dans la transformation, le conditionnement et la vente de céréales locales.
WANEP (Réseau pour la consolidation de la paix en Afrique de l'Ouest) (Cellule du Liberia) 67,685 $ Liberia 01/05/2012- 1 an Subvention transitoire d'un an pour consolider les gains obtenus par la mise en place de divers mécanismes d'alerte précoce et d'intervention en vue de minimiser les risques de conflits violents.
Contemporary Affairs Foundation 12,000 $ Zimbabwe 12/15/11 - 6 mois Pour développer les capacités des jeunes leaders africains, la subvention appuiera leur participation à des championnats universitaires de débat et au concours annuel Stetson Annual Environmental Moot Court.
Zimbabwe Labour Center 10,000 $ Zimbabwe 8/1/12 - 6 mois Les marchands ambulants du Zimbabwe font face à des obstacles difficiles. Cette subvention permettra de mener des actions de plaidoyer et d'appuyer le travail de soutien à la promotion des marchands ambulants.
Centre Mauritanien d'Analyse des Politiques (CMAP) 70,000 $ Mauritanie et Sénégal 8/1/12 - 11 mois Déterminants de l'entrepreneuriat chez les jeunes au Sahel: le cas de la Mauritanie et du Sénégal.
Centre Universitaire de Recherche pour le Développement Economique et Social (CURDES) 40,675 $ Burundi 8/1/2012 - 6/30/13 - 11 mois Une analyse de la contribution des institutions de micro-finance au financement des PME et au renforcement du pouvoir économique des femmes au Burundi.

NAYMOTE – Youth Local Gouvernement Toolkit (Boite à outil sur la perception de la gouvernance locale par les jeunes)

Cette boîte à outils a été créée pour fournir des informations claires et concises pouvant être utilisées pour façonner positivement la perception par les jeunes de la gouvernance locale et la perception de la jeunesse par d'autres acteurs de la gouvernance. Les connaissances transmises à travers cette boîte à outils sont également destinées à renforcer la sensibilisation des jeunes et à aiguiser leurs aptitudes, en tant que participants à l'administration locale et aux efforts nationaux de décentralisation des services gouvernementaux, à prendre des décisions au jour le jour. Dans le cadre de la préparation de la boîte à outils, des foras sur la gouvernance ont été organisés et des programmes de sensibilisation par les médias mis en œuvre pour sensibiliser les populations locales par rapport à la boîte à outils et aux questions relatives à la jeunesse et à la gouvernance. Des discussions de groupes de réflexion et des séances de validation ont également été organisées.

Chaque année, l’Afrique perd plus de 50 milliards USD par le biais des flux financiers illicites (FFI), un montant qui augmente de 20% par an. Notamment, environ 60% proviennent des activités des grandes entreprises commerciales. Toutefois, alors que les grandes stratégies de développement considèrent ce flux comme un obstacle au développement inclusif – de l’Agenda 2063 et du Financement du développement aux Objectifs de développement durable – un écart demeure entre la rhétorique et l’action. Il est donc essentiel de renforcer les voix de la société civile pour inciter les dirigeants à adopter et à mettre en œuvre les politiques nécessaires.

À cette fin, TrustAfrica, avec une coalition de cinq autres organisations de la société civile panafricaine, a lancé une campagne populaire dénommée #stopthebleeding (arrêter l’hémorragie) en juillet 2015 à Nairobi, et dont l’objectif est de mettre fin aux flux financiers illicites en provenance d’Afrique. La campagne a depuis été lancée dans les régions occidentale et orientale d’Afrique et par des partenaires nationaux au Togo, en Zambie et au Nigéria.  Au cours d’une conférence de solidarité à Washington DC, la campagne a été appuyée par des groupes dont AFL-CIO, Jubilee USA, US-Africa Network et FACT Coalition. Une chanson de campagne enregistrée par les artistes musiciens Livesoul, Synik et Pauline & The Kids, a remporté le Prix Honesty Oscars 2016 de la Meilleure Chanson (Hymne militant).

Nous avons organisé plusieurs consultations avec nos partenaires – Third World Network-Africa (Réseau Tiers Monde-Afrique), Tax Justice Network-Africa (Réseau pour la Justice fiscale-Afrique), FEMENT et AFRODAD – et avons réuni des chercheurs, des universitaires et des membres de la société civile pour renforcer les capacités de recherche des institutions africaines et mener un plaidoyer plus efficace.  Nous commandons également – et aidons à promouvoir – une recherche approfondie sur les FFI dans les secteurs de l’exploitation minière, de l’agriculture et de la faune et du tourisme.

Le travail actuel et les plans futurs comprennent ce qui suit :

  • Mettre à profit la technologie pour un partage plus efficace de l’information entre nos partenaires et pour mobiliser un plus large public ;
  • Mener des recherches au niveau des pays et des entreprises qui aideront à mobiliser les personnes disposant d’informations locales pertinentes par rapport aux chiffres continentaux globaux ;
  • Publier un recueil sur les FFI dans 17 pays ; et
  • Préparer un rapport annuel de signature sur les FFI en provenance d’Afrique pour servir de document de base à la société civile et aux décideurs.

Les enfants africains quittent souvent l’éducation formelle sans compétences adéquates en lecture/écriture et en calcul, un déficit d’apprentissage précoce qui fait qu’ils sont mal préparés pour réussir dans le marché du travail mondialisé.

Notre Fonds d’innovation pour l’apprentissage précoce, un partenariat avec la Fondation William et Flora Hewlett, a développé des modèles évolutifs et rentables en Ouganda, au Kenya et au Sénégal.

Ces modèles innovants, situés à l’intérieur comme à l’extérieur des écoles, comprennent l’acquisition de la lecture préscolaire, les améliorations de la gestion de l’école, les clubs de lecture, le tutorat et la participation de la communauté. Certains utilisent les premières langues des enfants pour renforcer leur capacité à acquérir des compétences dans une seconde langue qu’ils peuvent rencontrer à l’école.

Le fonds est reconnu pour la production de documents didactiques pour les enfants, dont la plupart sont dans les langues locales, et pour la création d’une communauté de pratique d’apprentissage précoce qui ne se limite pas à nos boursiers.  Un autre résultat tangible est une bibliothèque locale créée par l’un de nos partenaires au Kenya et qui bénéficie d’un excellent soutien de la part de la communauté. Des études de cas sont disponibles ici.

Une évaluation récente de ce travail a révélé que des innovations pilotes ont amélioré les compétences en lecture/écriture et en calcul des enfants dans une gamme de contextes dans les trois pays du projet. Elle a particulièrement pris note de nos services de renforcement des capacités, qui ont été adaptés aux besoins spécifiques de chaque bénéficiaire. Elle a également recommandé de déployer des efforts visant à établir des réseaux durables de la société civile sur le continent et permettre aux bénéficiaires de devenir des acteurs importants de l’éducation. Ce travail est en cours. Nous fournissons une assistance pour la meilleure de ces innovations, y compris un suivi et une évaluation personnalisés, dans le but d’intensifier leurs initiatives afin d’atteindre plus de communautés avec des possibilités d’apprentissage précoce. En outre, chaque partenaire travaille sur une théorie du changement, avec un ensemble d’outils de suivi qui détermineront la voie à suivre par les projets et pourront également servir à des activités de plaidoyer.

Notre travail avec LCDU en Ouganda a permis d’améliorer la formation des enseignants, la production de plus de documents ressources locaux pour les enseignants, et ils commencent maintenant une intervention « à domicile » qui inclura les parents et les volontaires de la communauté qui travaillent avec des enfants. De même, le Madrasa Early Childhood Program au Kenya a été approuvé par le gouvernement pour être un centre de formation d’enseignants et son programme d’études a également été approuvé pour être intégré dans l’école publique et être utilisé comme programme de choix. L’organisation s’étend maintenant aux écoles publiques, au lieu de juste créer ses propres écoles communautaires et de travailler dans les communautés musulmanes.

Grâce au travail de notre partenaire ARED, le Sénégal disposera bientôt de son premier modèle complet d’enseignement bilingue à l’école primaire. Le gouvernement appuie le travail de ce partenaire.


Au cours des deux dernières décennies, l’Afrique a réalisé une croissance économique remarquable, réalisant de meilleurs résultats que la plupart des autres régions du monde. Pourtant, les avantages des investissements accrus et des rendements plus élevés ont été fortement concentrés au niveau de petits segments de la population africaine. L’avenir de l’Afrique dépend de sa capacité à développer des marchés profitant à l’ensemble de la société Les disparités résultant de politiques entravant la majorité de la population et des entreprises du continent, en particulier les petites et moyennes entreprises, constituent un désavantage majeur.

En partenariat avec le Centre de Recherches pour le Développement International, TrustAfrica gère un fonds spécial de promotion de l’entreprise et des moyens de subsistance en Afrique à travers la recherche et le plaidoyer. Ce Fonds de Recherche sur le Climat d’investissement et l’environnement des affaires (CIEA), comme son nom l’indique, a alloué des subventions de recherche d’environ 1.481,000 dollars. En 2010, nous avons lancé la deuxième phase du Fonds qui fournit une enveloppe supplémentaire de 2,5 millions pour des recherches de pointe sur une période de trois ans. Nous sommes résolus à renforcer les connaissances sur les politiques d’investissement et les pratiques commerciales qui accélèrent le développement humain et alimentent largement la prospérité partagée.

Présenté lors de la Clinton Global Initiative 2010, le Fonds de recherche CIEA utilise des mécanismes de subventions à la recherche octroyées par voie concurrentielle, des ateliers de formation et des partenariats entre écoles de commerce et organisations du secteur privé pour contribuer à instaurer un meilleur climat des investissements et un meilleur environnement des affaires en Afrique. L’anglais et le français sont les langues de travail du Fonds qui couvre toutes les régions de l’Afrique.

Première phase

2006-2009

A la suite de nos deux premiers appels à proposition lancés en juin 2006 et en août 2007, 306 demandes de subvention provenant d’universités, d’écoles de commerce et d’institutions indépendantes de recherche dans 33 pays africains nous ont été soumises. Pour chaque cycle de financement, nous avions engagé des réviseurs pour classer les offres et avions constitué un jury panafricain chargé de sélectionner les attributaires de subventions. Au total, nous avons attribué 31 petites subventions pour la recherche jusqu’à concurrence de 10,000$ chacune, 20 subventions intermédiaires à concurrence de 50.000 dollars et 3 grosses subventions de 100.000 dollars chacune.

Seconde phase

2010-2013

Notre seconde phase a suscité moins de demandes de subventions (243 demandes après deux appels à propositions). Cependant, mais la portée de l’appel à propositions était beaucoup plus importante puisque nous avons reçu des demandes en provenance de 47 pays africains. Cette fois, nous avons attribué 21 petites subventions jusqu’à concurrence de 10.000 $ chacune, 27 subventions intermédiaires de 50.000 $ chacune et dix grosses subventions à concurrence de 100.000 dollars. Cette fois, nous avons ajouté une phase de de financement et sélectionné des soumissionnaires de pays sous-représentés, dont les offres ont été initialement rejetées. Après les avoir formés sur la façon de rédiger de bonnes propositions, une équipe d’experts a examiné les offres révisées et accordé des subventions en conséquence, en vue d’augmenter la portée du programme CIEA.

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