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Mar 24 2023

Au cours des deux dernières décennies, l’Afrique a réalisé une croissance économique remarquable, réalisant de meilleurs résultats que la plupart des autres régions du monde. Pourtant, les avantages des investissements accrus et des rendements plus élevés ont été fortement concentrés au niveau de petits segments de la population africaine. L’avenir de l’Afrique dépend de sa capacité à développer des marchés profitant à l’ensemble de la société Les disparités résultant de politiques entravant la majorité de la population et des entreprises du continent, en particulier les petites et moyennes entreprises, constituent un désavantage majeur.

En partenariat avec le Centre de Recherches pour le Développement International, TrustAfrica gère un fonds spécial de promotion de l’entreprise et des moyens de subsistance en Afrique à travers la recherche et le plaidoyer. Ce Fonds de Recherche sur le Climat d’investissement et l’environnement des affaires (CIEA), comme son nom l’indique, a alloué des subventions de recherche d’environ 1.481,000 dollars. En 2010, nous avons lancé la deuxième phase du Fonds qui fournit une enveloppe supplémentaire de 2,5 millions pour des recherches de pointe sur une période de trois ans. Nous sommes résolus à renforcer les connaissances sur les politiques d’investissement et les pratiques commerciales qui accélèrent le développement humain et alimentent largement la prospérité partagée.

Présenté lors de la Clinton Global Initiative 2010, le Fonds de recherche CIEA utilise des mécanismes de subventions à la recherche octroyées par voie concurrentielle, des ateliers de formation et des partenariats entre écoles de commerce et organisations du secteur privé pour contribuer à instaurer un meilleur climat des investissements et un meilleur environnement des affaires en Afrique. L’anglais et le français sont les langues de travail du Fonds qui couvre toutes les régions de l’Afrique.

Première phase

2006-2009

A la suite de nos deux premiers appels à proposition lancés en juin 2006 et en août 2007, 306 demandes de subvention provenant d’universités, d’écoles de commerce et d’institutions indépendantes de recherche dans 33 pays africains nous ont été soumises. Pour chaque cycle de financement, nous avions engagé des réviseurs pour classer les offres et avions constitué un jury panafricain chargé de sélectionner les attributaires de subventions. Au total, nous avons attribué 31 petites subventions pour la recherche jusqu’à concurrence de 10,000$ chacune, 20 subventions intermédiaires à concurrence de 50.000 dollars et 3 grosses subventions de 100.000 dollars chacune.

Seconde phase

2010-2013

Notre seconde phase a suscité moins de demandes de subventions (243 demandes après deux appels à propositions). Cependant, mais la portée de l’appel à propositions était beaucoup plus importante puisque nous avons reçu des demandes en provenance de 47 pays africains. Cette fois, nous avons attribué 21 petites subventions jusqu’à concurrence de 10.000 $ chacune, 27 subventions intermédiaires de 50.000 $ chacune et dix grosses subventions à concurrence de 100.000 dollars. Cette fois, nous avons ajouté une phase de de financement et sélectionné des soumissionnaires de pays sous-représentés, dont les offres ont été initialement rejetées. Après les avoir formés sur la façon de rédiger de bonnes propositions, une équipe d’experts a examiné les offres révisées et accordé des subventions en conséquence, en vue d’augmenter la portée du programme CIEA.

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  • Lot 4, Almadies Ngor, Dakar Sénégal
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